L’animal de compagnie occupe une place de choix au sein de la famille
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- Qu’ils aient des animaux ou pas, la quasi-totalité (93%) des Français considèrent les animaux de compagnie comme des membres à part entière de la famille, confirmant l’attention croissante au bien-être animal constatée lors de la 1ère enquête. C’est une tendance qui s’est renforcée au cours des dernières années selon deux tiers d’entre eux (65%), jusqu’à prendre la place des enfants pour certains (44% de plus que par le passé).
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Vivre au quotidien avec un animal, les opinions divergent entre propriétaires et non propriétaires
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- 84% des propriétaires estiment qu’un animal de compagnie est avant tout synonyme de plaisir et qu’il est facile de s’en occuper au quotidien (83%), mais seulement 56% des non-propriétaires partagent cet avis.
- Quand on les interroge si cela peut être un frein à la liberté de posséder un animal, ils sont 46% à le reconnaitre chez ceux qui en ont un… jusqu’à 70% chez ceux qui n’en n’ont pas.
- D’un point de vue financier, les opinions convergent pour dire qu’un animal coute cher, une appréciation encore plus marquée chez les non-propriétaires (70% vs 89%).
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Une dimension émotionnelle forte dans l’adoption d’un animal
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- En vue d’adopter un animal, 1 Français sur 2 (52%) se tournerait vers la SPA ou d’autres associations de recueil d’animaux, tandis que 37% s’en remettraient au bouche-à-oreille. Près des deux tiers (65%) privilégieraient d’ailleurs l’adoption d’animaux bébés (après leur sevrage) plutôt qu’adultes (35%).
- En plus de l’affection personnelle pour les animaux (46%) ou du fait d’en avoir toujours eu au sein de son foyer (47%), les enfants jouent un rôle majeur pour déclencher l’adoption d’animaux — dans 32% des cas pour les parents.
- Les Français attendent d’un animal de compagnie en priorité de l’affection et un caractère sociable, un critère cité par 66% d’entre eux. Les autres critères — compatibilité́ avec les enfants, calme, intelligence, drôlerie, etc. — apparaissent nettement à l’arrière-plan. La beauté́ de l’animal n’est un critère important que pour seulement 9% d’entre eux.
- Il est intéressant de noter qu’ 1/3 des Français avancent la peur de trop s’attacher à l’animal comme frein à l’adoption, juste derrière les coûts financiers (34%) et l’organisation des déplacements et des vacances (39%), ce dernier point étant plus marqué chez ceux qui n’ont pas d’animal.
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